Le scandale des niches fiscales
Le coût des niches fiscales est passé de 50 Mds d'Euros à 73 Mds d'Euros entre 2003 et 2008 soit près de 27% des recettes fiscales 3.8% du PIB (information figaro.fr). 150 millionaires ne paieraient pas l'impôt sir le revenu.
Je suis convaincu que la pression fiscale est une des premières causes des maux dont souffre le pays et ces niches fiscales sont paradoxalement au coeur du problème: la pression fiscale étant trop forte, on créée des aménagements à la marge pour certains groupes particuliers au gré du lobbying parlementaire.
Dans un modèle libéral, la fiscalité se doit d'être la plus neutre et la plus égale possible. A cet égard, le modèle français tient plus du modèle d'ancien régime que du modèle libéral tant il favorise les corporations.
En outre, ce qui est donné à un groupe particulier est toujours plus dur à reprendre. Les privilèges s'enracinent au détriment du plus grand nombre surtout en périodes de forts déficits où l'ensemble du pays doit faire un effort.
Ce qui est préoccupant c'est cette manie d'utiliser la fiscalité pour satisfaire les lobbies. Les niches fiscales tiennent lieu de politique. Ainsi, on s'apprête à créer une nouvelle "fiscalité écologique" au gré des humeurs du gouvernement lui même à la ramasse des médias...
Ainsi va la France qui se croit le pays de l'égalité mais qui connaît un corporatisme touchant toutes les classes de la société mais laissant parfois les catégories les moins revendicatrices de côté (la paix n'ayant pas de prix of course...).
Je suis convaincu que la pression fiscale est une des premières causes des maux dont souffre le pays et ces niches fiscales sont paradoxalement au coeur du problème: la pression fiscale étant trop forte, on créée des aménagements à la marge pour certains groupes particuliers au gré du lobbying parlementaire.
Dans un modèle libéral, la fiscalité se doit d'être la plus neutre et la plus égale possible. A cet égard, le modèle français tient plus du modèle d'ancien régime que du modèle libéral tant il favorise les corporations.
En outre, ce qui est donné à un groupe particulier est toujours plus dur à reprendre. Les privilèges s'enracinent au détriment du plus grand nombre surtout en périodes de forts déficits où l'ensemble du pays doit faire un effort.
Ce qui est préoccupant c'est cette manie d'utiliser la fiscalité pour satisfaire les lobbies. Les niches fiscales tiennent lieu de politique. Ainsi, on s'apprête à créer une nouvelle "fiscalité écologique" au gré des humeurs du gouvernement lui même à la ramasse des médias...
Ainsi va la France qui se croit le pays de l'égalité mais qui connaît un corporatisme touchant toutes les classes de la société mais laissant parfois les catégories les moins revendicatrices de côté (la paix n'ayant pas de prix of course...).